Le Camp de la mort lente

La famille Bernard n’a pas été épargnée par l’occupation allemande : Tristan Bernard, célèbre homme de lettres, arrêté à Nice avec son épouse, n’a été finalement libéré de Drancy qu’à la suite d’interventions d’amis fidèles (Sacha Guitry, Arletty). Son fils, le dramaturge, Jean-Jacques Bernard a subi une terrible captivité dans le camp allemand de Compiègne, où la famine et le froid ont entraîné la mort de dizaines d’internés juifs. Quant à son petit-fils François-René, il n’est pas revenu du camp de Mauthausen où il a été assassiné par les nazis. Jean-Jacques Bernard a été libéré avec quelques autres internés de Compiègne en mars 1942 à l’article de la mort.

À retrouver dans la rubrique « Mémoire » de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah :
https://www.fondationshoah.org/memoire/collection/le-camp-de-la-mort-lente-jean-jacques-bernard-0

Date de parution :

24/07/2006

Nombre de pages :

336

Genre :

Témoignages, Seconde Guerre mondiale, Shoah

Langue :

Français

ISBN :

9782748169300

eISBN :

9782379790447

Livre numérique

4,99 €

Livre papier

21,90 €